Ouverture LABO DTF été 2012
Pour en savoir plus sur le parcours à la rencontre d’artistes nancéiens cet été, cliquez sur la pièce jointe ! ….et rendez-vous au LABO les WE du 14-15 juillet et du 4-5 août
La N.Ai.Ne invite : Damien Gete
Reportage au LABO DTF
Reportage france 3 sur le labo DTF
La N.AI.NE du 07/05/2012
Articles de presse « Lancement de la N.AI.NE »
Diaporama « Lancement de la N.AI.NE »
Discours de présentation de la Nouvelle Aicole de Nency
Ce jour est un grand jour pour le collectif du LABO DTF. Nous en avons longuement parlé. L’ambition est certes mesurée, mais nous l’avons fait : la Nouvelle AIcole de NEncy est née.
Léger retour en arrière pour évoquer le commencement.
Il y a dix ans, une poignée d’irréductibles souhaitaient trouver un lieu pour donner corps à leurs aspirations. De ce petit noyau en fusion naîtra l’Art Demi-Sec, croisement d’Art Brut et de Dadaïsme. Le laboratoire, lui, stoïque, telle l’enveloppe protectrice qu’il représente, verra s’opérer un glissement et une oscillation entre l’Art Demi-Sec et l’Art contemporain. Tout cela à travers d’interminables palabres et tensions lors de soirées oh combien vivantes ! Très vite, le besoin de se confronter au public et à la critique convergera et nous profiterons d’un lieu au 117 rue Charles III à Nancy (« L’explosition« , « Black à Août« ) et de l’aventure des ouvertures d’ateliers pour présenter notre travail. Alors vous me direz tout cela est commun à toute association ? Peut-être oui, mais là nous touchons aux prémices de la Renaissance de l’École de Nancy, car plus que le collectif qui incarne le réenchantement du monde, le bouillonnement d’idées, c’est bel et bien la volonté de voir émerger une nébuleuse de créateurs vers un ailleurs venu d’ici. Continuer la lecture de Discours de présentation de la Nouvelle Aicole de Nency
Lancement de La N.AI.NE
Bienvenue sur le Blog de La N.AI.NE, la Nouvelle Aicole de Nency.
La N.AI.NE voit le jour début 2012 autour du collectif « le Labo DTF » et de sa nébuleuse.
L’art demi-sec s’est illustré et évaporé sur les braises de l’art contemporain. De ses éthers la Nouvelle AIcole de NEncy est née.
Celle-ci n’admet aucune imperfection, rien n’est trop beau pour qui ne sait de quoi demain sera fait.
L’ambition de la N.AI.NE est d’entraîner dans son sillage, les illuminés de la Re-re Naissance.
Cet endroit hybride, subtil mélange entre laboratoire et galerie d’art, vous ouvre ses portes de manière aléatoire, alors restez connecté pour suivre notre actualité !
La Biennale d’art contemporain de Venise 2009
Le Labo DTF a dépêché pas moins de 3 envoyés spéciaux pour couvrir la 53ème biennale de Venise. Un reportage réalisé par Romain DURCIK, Nicolas DURAND et Guillaume HOUIN. Le thème de cette biennale était « faire des mondes »…
« faire des mondes », quoi de plus fourre-tout qu’un thème si généraliste ? De quoi donner à tout le monde l’occasion de faire ce qui lui plait… Cette année la biennale à récompensé de son lion d’or Bruce Nauman, dans le pavillon américain, pourquoi une telle décision vous me direz-vous ? il est vrai que l’on peut s’interroger, pas parce qu’il ne le mérite pas, mais pourquoi récompenser d’un lion d’or un artiste dont les oeuvres datent des avant-gardes minimales et conceptuelles des années 60. Sinon que dire si ce n’est beaucoup beaucoup de choses à voir, une édition chargée à mon goût, comptez une semaine pour faire le tour vraiment ! Claude Lévêque fait la différence évidemment en murant l’entrée d’une paroi aveugle, un décor argenté brillant, des cages à fauves et des drapeaux noirs, un minimalisme et une esthétique particulière, les russes cette année frappent fort, des dessins à l’encre de Pavel Pepperstein, Shuralev qui a punaisé sur les murs noirs de minuscules portraits de personnes célèbres du 20è s., Molodkin met en scène 2 athéna sous respirateur artificiel, une avec du sang pour la vie et l’autre avec du pétrole tchétchène, la mort, le must reste Kallima, qui a peint sur les 4 murs d’une salle, une foule en délire d’un stade, visible qu’à la lumière noire, en fond sonore les cris progressives de la foule, puis une interruption brutale de l’ensemble nous ramène à une pièce blanche et silencieuse…le meilleur pavillon à mon goût. On pourrait faire le tour de chaque pavillon, mais il faudrait un article de 3 kilomètres.
Guillaume HOUIN